« Personne au fond ne perd son âme, on en pisse seulement les neuf dixièmes. » (Ch. Bukowski)

Face aux tracas du monde comme il va, le conte s’est imposé comme une évidence pour éviter la catalepsie et gagner ma vie – celle d’après la mort !

Récits d’insoumission, de destin et de quête de soi, de justice ou de vengeance, d’irrévérence et de subversion, de désir indomptable et de sensualité aussi : les histoires 
me tombent dessus autant que
 je choisis de les raconter. Anti-héros, enfant futé, ermite, femme rebelle, paysan rusé, animaux lucides s’y croisent et s’y déploient.

Je les partage comme des coups de foudre amoureux, qu’ils sont. En n’étant pas jaloux de leurs charmes, en laissant diffuser leur irréductible part de mystère, en pistant le sourire au milieu des élans béats.